capucine, capucine • dans la douceur d'un nouveau jour. - 100 %

Prénom : Capucine. Un prénom tout en douceur, en volupté, en légèreté...en français, quoi.
Âge et date de naissance : 27 belles années. Oui, 27 belles années que Capucine voit chaque jour le soleil se lever...Et que cela la réjouit.
Nationalité et lieu de naissance : Née à Paris, 11ème arrondissement, le 27 février 1982.
État civil : Civilement, elle est célibataire. Mais elle se dit fiancée.

Comme le veut la coutume, le doyen du camp vous interroge. Attention, il veut tout savoir! Ne lui cachez rien, il pourrait très vite s'en apercevoir. Pour le convaincre, n'hésitez pas à développer les réponses.

• « Bien le bonjour à toi, cher petit... Alors, je dois te poser quelques questions... Pour commencer, pourquoi as-tu voulu rejoindre le camp ? »
La vraie question, ça n'est pas cela. Pourquoi ai-je voulu rejoindre le camp, cela ne se pose même pas. Lorsqu'on regarde, ne serait-ce que quelques secondes, la vie d'ici, on comprent tout de suite pourquoi un jour, l'on a voulu rejoindre ce camp. La vraie question serait peut être pourquoi n'ai-je pas voulu le rejoindre plus tôt ? Et la réponse est simple : j'étais aveugle. Aveugle d'une société mensongère. Maintenant, j'ai ouvert les yeux, et durablement. Pour dire vrai, ils sont ouverts depuis le moment même ou j'ai quitté mon foyer, toute jeune encore. J'ai alors compris qu'il me fallait autre chose et puis, vous l'avez compris. J'ai rejoins ce camp, ma nouvelle famille.
• « Quelles étaient tes conditions de vie, avant d'arriver à Opal Springs ? »
Mes conditions de vie ? A mon sens, ce n'était pas vraiment une vie. Comment alors appeller ça des conditions de vie ? Et pourtant, pour bien des gens, et je parle des gens qui ont les yeux fermés, ceux qui vivent loin d'ici, c'était la vie parfaite. En vérita, j'avais dès ma naissance couru, et non marché, dans un sentier tout tracé, goudronné et encadré de hautes palissades. Au départ, je trouvais ce sentier joli, il s'étalait à l'infini. Sur sentier, j'étais accompagnée de ce que je voulais, une famille qui m'aimait, une réeussite sociale, comme ils l'appellent. Et puis, au bout d'un moment, le sentier, ce sentier noir, à commencé à me bruler les pieds. Le soleil tapait trop sur ma tête. Les palissades grandissaient à vue d'oeil. Et cela s'étendait, s'étendait. Et un jour, je me suis réveillée, j'ai vu la palissade devant moi : j'ai pris mon courage à deux mains et je l'ai sautée, d'une traite. Et puis, j'ai vu le monde devant moi.
• « Te sens-tu capable de vivre ici, avec pour seuls amis la nature et les autres membres de la communauté ? »
*Rires*. Si vous le voulez bien, je vais de nouveau me permettre de répondre à la question par une autre question. Serais-je encore ici, si je ne m'en sentait pas capable ? C'est le principe de cette endroit. Sois libre, mène ta vie comme bon te semble. Personne n'a le droit de te dicter quoi faire. Si tu aime l'endroit, reste, si tu ne l'aime pas, part. Et bien voila, je suis encore là, 9 ans plus tard. Et il est maintenant certain que je ne pourrai plus vivre nulle part d'autre. Je ne me souviens même plus comment est la vie sans cet endroit, sans sa douceur, sans ces gens que je croise chaque jour, qui me réconfortent, qui m'aident, qui font ma vie. Sans ce soleil sur ma peau, ses champs pour vision lorsque je m'éveille.
• « Que pensent tes proches de ta venue ici ? »
Malheureusement, je n'en sais pas grand chose. Vous savez, je suis éloignée de mes proches, de ceux qui faisaient autrefois partie de ma vie que je ne sais plus vraiment ce qu'ils peuvent penser ou même la façon dont ils pensent. J'imagine juste que ma décision n'a pas due être facile à accepter, au départ. Surtout pour mes parents, en vérité... Ma petite soeur était trop jeune pour avoir un quelconque recul sur cela et puis, le reste de mes proches... n'étaient que rêves. J'avais peu de vie privée. J'espère cependant qu'aujourd'hui, ils ont fini par accepter cette idée, cet état des choses et, idéalement, ma façon de voir le monde et de m'éloigner de leur monde à eux. Parce qu'au final, ils sont ma famille, mon passé, et je les aime. J'espère également que ma soeur désormais ne fera pas l'erreur que j'ai failli commettre, qu'elle me rejoindra ici et qu'elle comprendra à son tour pourquoi la vie vaut la peine d'être vécue.
• « Depuis quand es-tu ici, rappelle-moi... ? »
Depuis quand ? Je ne le sais pas précisement. En arrivant ici, j'ai voulu me couper du monde, et j'ai commencé par abandonner les repères de la civilisation que j'avais quittée. Comme les repères temporels, par exemple. J'ai laché les calendriers, les montres, j'ai arrêté de compter les jours, les mois, les saisons. Je sais juste que je suis là depuis longtemps, vraiment longtemps, à tel point que j'ai parfois l'impression d'avoir toujours vécu ici, avec ces gens, cette communauté. Cela doit donc faire plusieurs années, peut être bien beaucoup d'années. Mais ce n'est pas vraiment ce qui importe.
• « Quel est ton meilleur souvenir d'enfance ? »
J'ai très peu de souvenirs d'enfance. C'est une période très confuse de ma vie, où j'ai du mal à me situer, à me revoir, ou même à revoir les gens qui m'entouraient. Pourtant, j'ai toujours eut la réputation d'avoir une bonne mémoire, mais c'est parfois un peu comme si ma vie avait réellement commencé vers la fin de l'enfance, dans mes premiers souvenirs précis. Cela me chagrine parfois, car même si je n'ai aucun regret pour mon ancienne vie, il me semble qu'il est toujours important que conserver un petit souvenir de tous les moments frappants que l'on a vécu, toutes les périodes par lesquelles l'ont a put passer. J'ai pourtant quelques vagues images d'un voyage, vers mes 6-7 ans, qui m'avait marqué d'une façon inimaginable. C'était un voyage en Irlande, je crois bien. Ou peut-être en Ecosse. Tout était très vert, et nous dormions dans un chalet au bord d'un lac. Ma petite soeur était tout bébé, encore. Elle pleurait tellement, que j'allais sans arrêt au bord du lac, à la recherche de calme. Et mon père, si pressé d'habitude, si sévère, droit, juste, m'avait durant ces vacances là apprit la pêche, lassé lui aussi des cris de Rose. Durant des jours entiers, ont été restés cote à cote, au bord du lac, pêchant parfois de grosses choses. Et la simplicité de ces moments été restée quelque chose de magique.
• « Quelle est la chose qui te rend le plus heureux au monde ? »
La réponse est simple. C'est ma vie. La vie que je mène, rien d'autre ne peut me rendre plus heureuse. Revoir ma soeur, peut être, mais pour le moment, je suis plus qu'heureuse. Je suis comblée. Pour moi le bonheur se résume à ce que j'ai déja, à ces moments que je passe ici, cette nature qui m'entoure, qui nous entoure. C'est bien simple, en vérité ; imaginez vous, lorsqu'a l'aube, chaque matin, je m'éveille. Le soleil levant, teinté de rose, d'orange, de jaune, parfois même de violet ou de bleu, est la chose la plus merveilleuse qu'il me soit donné de voir. Et lorsque chaque matin, je m'assois devant ce spectacle, je me dis que oui, c'est certainement ça, ce qui me rend heureuse. Juste ça, tout ça.
• « Définis-toi en quelques mots. »
Oh. Me définir ? Il faut savoir que j'aime assez peu parler de moi même, comme cela, ouvertement. Sans doute les autres me définiraient beaucoup mieux que je ne pourrais le faire moi même. Disons juste que, je suis quelqu'un d'assez simple, en définitive. Je ne recherche jamais la perfection, la supériorité dans ce que je fais : j'essaye juste de sans cesse trouver un bon équilibre, celui qui fonctionne et pas forcement celui sans défauts. J'accepte avec complaisance les défauts et les qualités de chacun, sans jamais leur reprocher ce qu'ils sont ou ce qu'ils font. Je prône la liberté individuelle, cette de n'être pas forcement en accord avec la communauté ou de l'être. Celle d'avoir besoin de s'isoler ou au contraire de se rapprocher des autres. Celle de préférer les hommes ou les femmes, enfin, la liberté d'exister. Je carbure avec de l'amour, du moins, j'essaie, et fais en sorte de ne jamais juger une personne sans avoir longuement discuté avec lui ou elle de ses motivations, ses ambitions, sa philosophie propre. Je suis assez curieuse et j'aime m'interesser aux opinions divergeantes, écouter ce que les autres disent. J'essaie moi même de donner par la suite mon avis, dans le calme et la modération, pour ne jamais l'imposer mais le suggérer.
• « Quelles sont tes petites manies, tes tics ou même tes phobies ? »
Dans cette grande recherche de moi-même que j'ai entamé en arrivant à Opal Springs, j'ai principalement tenté de retrouver un moi-même plus en accord avec la nature. J'avais été perdue, noyée dans des peurs d'adultes, bien trop tôt et cela avait faillit m'atteindre définitivement. C'est pourquoi j'ai essayé de me laver de toutes mes peurs, mes addictions, mes habitudes, pour réellement tout recommencer d'un point de départ, faire le vide puis reprendre une nouvelle vie. J'ai donc fais ce long travail sur moi-même et j'ai conservé très peu de peurs ou de manies d'antant. Peut être ai-je toujours un peu peur, au fond, que le rêve s'arrête, même si je crois en moi et en ceux qui m'entourent. J'ai peut être également cette manie d'abandonner tout égoisme et de toujours me soucier des autres, en permanence, au risque d'empieter sur leur propre espace vital. Mais cela, j'essaye de le contrôler, afin de ne pas agacer des gens.
• « Quelles sont tes relations avec les autres hippies ? »
Elles sont formidables. En arrivant ici, je n'aurais put rêver mieux, meilleur acceuil que celui qui me fut fait. Le camp n'était alors pas très grand, et il y avait peu de personnes comparées à aujourd'hui. Pourtant, ces personnes sont immédiatement devenues comme ma deuxième famille, restant à mes côtés lorsque je doutais, m'épaulant pour m'en sortir dans cette nouvelle vie, me permettant de méditer sur mon but. Ils sont rapidement devenus comme ma deuxième famille. Et puis, des petits nouveaux et nouvelles sont arrivés, avec cet air désilusionné, cet air perdu qu'on tous les jeunes gens qui décident un jour de changer de vie. Cet air effrayé parfois. Et comme on m'avait un jour pris par le bras, je les ai accompagnés, guidés, comme une vraie grande soeur, la place que j'avais toujours occupé dans ma famille et que je connaissais si bien. Je suis d'ailleurs devenue un peu la grande soeur de tous le monde, particulièrement des jeunes femmes du camp, celles plus jeunes que moi. Il arrive parfois ici de si jeunes filles, que je me sens un peu obligée de les aider. Seule Anise est plus vieille que moi, et nous partageons un peu le même rôle, même si cependant je me sens beaucoup moins 'mère' qu'elle. C'est une vie chargée d'amour que j'ai ici, et j'ai même le plus grand des amours qui existe, l'amour passionnel, fusionnel, vous savez, ce que les petites filles appellent le grand amour. Je crois bien que je l'ai.
• « Quel est, d'après toi, le meilleur moyen de se révolter ? »
Pour commencer, je ne suis pas réellement dans un principe de 'révolte'. Je sais que c'est le cas de beaucoup de personnes ici, et je respecte cet état des choses. Je comprend même, que certaines personnes aient un besoin, une envie de se révolter. Mais je ne suis surement pas là pour leur indiquer la meilleure façon de le faire. J'estime qu'ici, tout le monde possède une bonne façon de réagir et de penser, même les derniers arrivés. Peut être est-ce le cadre, l'ambiance ? Je ne me rend que très peu compte, depuis le temps. Quoi qu'il en soit, pour moi rien ne doit réellement passer pour une révolte. Et si le simple fait de s'écarter de la vie occidentale et de rejoindre une communauté dans le genre d'Opal Springs est pris comme une révolte, alors je pense que c'est une révolte amplement suffisante. Oui, le simple fait de venir ici et déja tellement, tellement suffisant, encourageant, réconfortant. Il signifie que notre cause ne tombe pas dans l'oubli, que les jeunes continuent à avoir de l'espoir en ce que nous croyons. C'est déja tellement plus qu'une simple ... révolte.
• « Qu'est-ce que tu aimes, par dessus tout ? »
J'aime réellement tout ce qui m'entoure. Voyez, cette nature, cette beauté. Cette simplicité des choses, cette philosophie non contraignante, douce, rassurante, enveloppante. J'aime le fait de vivre ainsi, de ne plus avoir d'heures, de jours, de saisons, plus de lois vieilles, outrepassées à respecter. Mon libre arbitre, ma conscience personnelle, pour seule règle, comme seul maintien. En vérité, je pense que c'est la liberté que j'affectionne par dessus tout. Cette liberté qui devient la plus grosse part de nous même lorsque l'on arrive à Opal Springs. Ce n'est pas une liberté effrayante, mais une liberté douce et sereine. J'adore cela. Et puis, j'aime aussi les sons, les odeurs, les couleurs de la nature. Surtout les couleurs. Les fleurs qui poussent dans les champs aux alentours, leurs beaux reflets jaunes, oranges, rouges.

Oh, ma soeur
Bienvenue =)

Dallveig a écrit:

Très bel avatar
Bienvenue sur le forum !

+1, j'adore l'avatar!
Bienvenue sur le fofo, et j'espère que tu t'y sentiras bien . Bonne chance pour ta fiche!

Bienvenue !
Très bon choix de perso', et d'avatar (:
Bon courage pour ta fiche, et amuse toi bien parmi nous ^^

bienvenuuuuue <3

Ce que j'aime ce genre d'acceuil (a)
Merci beaucoup, beaucoup à touuus !

Pour ce superbe avatar, il faut surtout dire merci à sa créatrice (:
Et puis, pour le choix du perso.. A Mariko en fait, qui m'a fortement incitée pour Capucine on va dire

En tout cas merci encore <3

EDIT : Je termine ici, désolé. J'aurais sans doute dut réserver un message mais enfin, je ne pense jamais vraiment aux bonnes choses, au bon moment. Bref. Voila la fin :

• « Et que détestes-tu ? »
Détester n'est plus. Encore une fois, c'est un mot qui partit de mon vocabulaire de ma pensée quand je suis arrivée ici. Je l'ai volontairement fait partir, car c'était un mot négatif. Tout, absolument tout ce qui était négatif a été lavé par les eaux d'Opal Springs, à mon arrivée. Je me suis efforcée, même si ça ne fut pas toujours si facile, d'effacer tout mauvais sentiments. Voila pourquoi je ne déteste plus rien, pas même les avis qui vont à l'encontre de ma propre philosophie. Je ne déteste même plus cette société que j'ai quitté. Je ne l'aime pas non plus. Mais je l'accepte. Car déteste n'avance finalement à rien, sinon à se torturer soi-même. Car c'est un sentiment si négatif qu'il finit par prendre le pas sur les sentiments positifs et puis, il rend fou. Je préfère accepter. Certains appèleront ça de la résignation, voir de la lacheté. Ils en ont le droit.
• « Bien... Une dernière question, pour clore. Comment appliques-tu la philosphie peace and love d'Opal Springs ?»
Il y a finalement très peu de choses à faire pour appliquer cette philosophie, en général. Encore une fois,c'est un petit travail de tous les jours. Tout en vivant, selon nos propres visions des choses, l'important est de toujours mesurer la portée de nos actes et de nos choix. Surtout, surtout, ne jamais imposer aux gens une vision des choses ou une manière de faire. C'est ce que je m'applique à faire pour faire honneur à cette philosophie. Je fais attention à chacun, à ce qu'il a à dire, à ce qu'il ou elle est. Je m'interesse beaucoup au petit monde autour de moi et je pense qu'Opal Springs, au final, c'est surtout ça. Vivre en liberté mais dans le bonheur des autres avant son propre bonheur. C'est une très bonne philosophie, qui n'est finalement pas si difficile à appliquer que cela et qui marche formidablement bien sur une communauté, si tout le monde l'applique ou du moins, s'en inspire.

Personnalité sur l'avatar : Sienna Rose Miller, la meilleure
Code de validation : imagine.
Multi-compte ? Nooon. Un seul est largement suffisant <3

Alouuurs. C'est le moment ou j'arrête de me prendre pour une hippie du nom de Capucine et que je parle de moi, moi l'être humain derrière cet ordinateur. Mon petit prénom c'est Louise, et du fait on m'appelle souvent Lou. Très souvent. Je vous y autorise, même si bien evidemment une des admins, qu'on ne citera pas, s'est empressée de me piquer ce surnom pour son pseudo, et cela porte maintenant à confusion ^^. Bref, outre attaques personnelles contre le staff, on me surnomme souvent sur le web Sunny ou Jelly Skies', et j'ai 16 petites années, bientôt 16 et demi malgré tout, le temps passe, et oui... Je suis en seconde générale, avec option section européenne toutefois, ce qui me voue à une admiration et à un amour total et inconditionnel pour la langue anglaise D'ailleurs oui, oui, parmis mes 'passions' on trouve surtout tout ce qui est brittanique, en passant de la musique (<3) au mode de vie. Enfin bref, U.K is the way quoi. Mais bon, n'allez pas croire que ma vie se résume à cela, je suis aussi follement amoureuse de ma langue maternelle, le français, et j'ai décidé depuis mes 8 ans et demi que j'irai en L, que je serai Journaliste et que je passerai mon temps à écrire. Gare à vous !
Mais bref, bref, abrégeons. Si je suis là, c'est déja et surtout parce que nouveau forum by Mariko signifie pour moi maintenant inscription directe et immédiate, sinon, je sais bien que je vais le regretter pendant au moins deux semaines après. Cette fois ci, je dois vous avouer que j'ai bien cru que je n'arriverais pas à trouver ce qu'il me fallait, mais l'adoraaable Mariko m'a lancée sur la piste de Capucine et puis voila, je ne regrette absolument pas maintenant. D'ailleurs, je suis bien heureuse d'avoir bouclé ma présentation, parce que, même très plaisante, elle rajoutait chaque jour un peu plus à mon envie de jouer. Que pourrai-je rajouter ? Love ya.
(Salut, c'est moi la fille qui arrive à faire une présentation d'elle même plus longue que celle de son perso... )

Bienvenue parmi nous! Moi aussi je suis complètement fan de ton avatar! Il est superbe!

Amuse toi bien!

Capucine a écrit:

Et puis, pour le choix du perso.. A Mariko en fait, qui m'a fortement incitée pour Capucine on va dire

A Marikox elle sait très bien y faire pour convaincre les gens !

SIENNA (L)

BIENVENUE !
& je confirme pour l'avatar