La folie & La Sagesse || Désire&Love

La folie et la sagesse & La Sagesse
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J'avais marché cinq kilomètres depuis "Opal Spring". J'avais marché cinq kilomètres pour me retrouver sur la plage, face à l'océan, l'eau claire et pure, le calme, le bruit des vagues, le sable sous mes pieds et le vent dans mes cheveux. Assise sur le sable, je souris, je suis heureuse, je regarde l'eau cristalline, j'écoute le bruit des vagues qui s'écrasent sur les rochers. Je suis totalement à l'écoute de la Nature et mes yeux, comme a leur habitude, s'émerveillent devant cette nature, ce lieu si pur. Je suis seule sur ce lieu de liberté. Je me lève, mes cheveux volent au vent, mon sourire brille autant que le soleil, seul chef de ma vie, mes yeux sont pleins d'étoiles. J'étais debout, sans but particulier, je souriais, je devais passer pour une conne, mais alors une vraie, mais j'en avais rien à faire, oui je m'en moquais totalement. Je m'en moquais comme de la vache qui pisse. De plus je suis seule, complètement seule, personne, le désert, la solitude, chose dont je suis fan seulement quand je la désire, là je la désire sans la désiré, seul ou avec quelqu'un je m'en moque, avec quelqu'un de bien c'est toujours mieux. Oui je sais, vous avez du mal à suivre, à comprendre, comme beaucoup de monde, mais au fond je me comprends c'est tout ce qui compte hein? Qu'on se comprenne sois même avant d'être compris par les autres. Comme la folle que je suis je me mets à faire une roue sur le sable, comme ça, juste pour en faire une. Je m'écroule alors dans le sable, je rigolerais presque, les yeux grands ouvert je m'aperçois que je ne suis plus seule, qu'il est là. Qui Lui ? Désire. Désire Désir? Qui est ce ? Mais c'est désire, un garçon de 21 ans, calme, doux, tendre qui croit au grand amour, protecteur, un peu brisé, de temps en temps mélancolique, musicien... enfin il a des tonnes de qualités et, c'est sans aucun doute de lui que je suis le plus proche. J'affiche alors un sourire énorme, jusqu'aux oreilles, l'air con, mais shit qu'est-ce que je suis heureus! Je me relève et je peux ainsi le regarder dans les yeux. J'ai envie de lui sauter au coup, mais je ne le fais pas, je me contente de sourire et de regarder ses magnifiques yeux et ses pupilles au d'un vert virant au brun. ET automatiquement je me mets à parler, comme la pipelette que je suis .

- Désire! Ce que ça me fait plaisir de te voir! Tu vas Bien ?

Un grand sourire très franc aux lèvres, je regarde le ciel pour me replongé, quelques secondes après, dans ses magnifique pupille.

Une étendue douce et dorée s’étendait devant mes tendres yeux. Je regardais cette tendre étendue tellement paisible qu’on aurait pu penser que la mer n’existait pas, que nous n’étions que sur un tendre lac. Voilà, Oh douce étendue, ouvres-moi tes bras, ouvre mon esprit à toutes ses choses qui lui semble si lointaine. La paix, voilà la sensation que je ressentais une paix, douce et tendre, quelque chose qui ne me donnait qu’une envie être libre. La liberté, voilà ce qui était le plus beau dans ma vie, cette liberté qui accompagnait chacun de mes tendres pas. J’avais enlevé mes sandalettes pour mieux sentir les grains de sables entre mes doigts de pieds, cette tentation était tellement agréable, douce. J’aurais aimé être un coquillage ou un petit crustacé de plage, vivre sur une plage ne jamais quitté cette étendue sablée. La mer est comme un être humain, elle peut-être calme et posée et se déchaîner quelques instants plus tard. Elle nourrit les hommes grâce aux poissons qu’elle contient. Elle nous permet aussi de nous amuser.

5 kilomètres, c’est ce que j’avais marché depuis Opal Springs pour venir sur cette plage. Qu’est ce qui m’avait poussé à venir sur ce tendre chemin ? Sans doute mes pieds et mon envie, cette envie de venir sur une plage, celle qui me pousse si souvent à faire certaines choses. Dans ma vie, cette envie se transmet par mes voyages, une semaine ici, une autre ailleurs, pourquoi rester toujours au même endroit alors que le monde est si vaste et si accueillent. J’étais un peu comme Rimbaud, un homme aux semelles de vents. Je passe ma vie sur la route pour ne pas devenir comme tout le monde. Ce monde ne tourne qu’autour du profit, de choses tellement matérielles dans ce tendre monde. J’aurais pu faire partie de ce monde de profit où tout ce qui compte c’est d’avoir de l’argent, j’aurais pu en avoir tellement mais qu’est ce que l’argent comparer à l’amour, rien n’est plus beau que cela.

Je regardais droit devant moi, cette grande étendue quand mes yeux la virent. Elle était loin mais pourtant je reconnaissais son tendre visage entre milles peut-être parce que je le vouais tellement souvent. Quel bonne chose d’avoir à ses côtés quelqu’un d’aussi doux et tendre que ne l’était la tendre demoiselle se tenait loin de moi. Mes pieds me disent de courir mais je préfère prendre mon temps, je n’ai pas envie qu’elle me prenne pour un fouJe marche tout en allant de plus en plus vite puis elle fait sa roue tombant doucement sur le tendre sable. Ah Love, une chose est sur c’est que de toutes les demoiselles de ce quand personne n’est aussi folle qu’elle. Cela n’est pas un mauvaise chose au contraire dans mon tendre esprit rien n’était plus beau que de voir l’un de ses tendres sourires et cette joie de vivre tellement enfantine tout ce que je n’étais pas. J’ai sans doute grandit trop tôt comparer aux autres, ma destinée était ainsi.

J’étais maintenant à quelques centimètres d’elle ou plutôt au-dessus d’elle puisqu’elle était toujours couché sur ce tendre sable. Ses cheveux dorés se mariaient à la perfection avec la tendre couleur du sable. Une chose est sure c’est que sa tendre chevelure ondulée allait souffrir de tout ce sable ce qui allait être drôle des jours avec du sable dans les cheveux. Avec sa folie si enfantine qui la caractérisais, je crois qu’elle serait capable d’aimer çà. Je la regardais tendrement se relever cette tendre Love, une enfant dans un corps de femme, une amie que l’on a tellement envie de protéger, de rendre heureuse. J’adorais plus que tout son sourire car il ne quittait jamais son tendre bizarre, j’aurais tellement aimé la serrer dans mes bras mais peut-être serait-ce trop ? Car elle n’était que ma tendre amie, celle qui égaillait mes journées. Etait-ce sa tendre douceur qui avait amené mes pas jusqu’à cette plage pour la revoir une fois de plus, pour me sentir près d’elle, heureux pendant un petit bout de temps. Comme d’habitude je ne parle pas, sachant que comme d’habitude elle fera le premier pas. Moi qui n’a jamais été un grand bavard avec elle je suis servis. Elle parle encore et encore de sa tendre voie d’ange et moi je n’ai qu’à l’écouter car elle parle pour deux. J’aime tellement ces petits moments en sa compagnie à l’écouter et elle qui voudrait bien me faire parler un tant soit peu. Selon mon envie elle y arrive. Love ouvre la bouche je souris, elle parle mon souris augmente puis elle se tait et l’envie de lui répondre m’atteint immédiatement.

-Love çà me fait aussi grand plaisir de te voir ici, alors comme çà tu aime mettre du sable dans tes tendres cheveux. Je vais bien, égal à moi-même et toi quelle est ton humeur aujourd’hui ?

Je Souris et quitte ses tendre yeux pour tourné sur moi-même, ma robe blanche dévoile généreusement mes jambes, ma crinière blonde me revient dans les yeux et je souris. Avec les cheveux devant les yeux je me replonge dans son regard si magnifique si profond. Que ma crinière blonde soit pleine de sable je m'en moque, au contraire même ça m'amuse. Et puis ce n'est pas comme si un garçon dormait avec moi tous les soirs, non je suis célibataire et, je suis vierge aussi, oui j'ai eu des petits copains, mais je n'ai jamais eu assez de sentiment pour coucher avec l'un d'eux et, puis je dois bien avouer que ça me fait peur. Je sais que beaucoup pense que je ne suis plus vierge, mais en fait si, mais bon ce n'est pas un truc que l'on cri sur les toits n'est-ce pas? Nous sommes d'accord donc revenons a nos moutons. Je passe ma main dans mes cheveux dorée et je souris, un magnifique sourire enfantin. Désire a grandi trop vite, mais moi, moi je n'ai pas grandi, ou alors très peu, un petit bout dans un corps de presque femme, oui parce que même mon corps n'est pas très mature, mais au fond j'aime cette immaturité, oui parce que c'est moi et que ça fait partie de moi, je l'accepte et ce que les gens pensent ça me passe au-dessus de la tête. Je retire une mèche du visage de Désire, une mèche que le vent avec guider devant ses yeux et je dépose un tendre baiser sur ça joue.

- Il n'y a pas de mot pour exprimer a quel point je suis heureuse et, encore plus depuis que tu es là. Tans pis pour mes cheveux et, moi j'aime enlever le sable de mes cheveux, j'y prends un malin plaisir.

Je ne souriais plus, je souriais et je me mordais la lèvre inférieure. Je suis si bien avec lui, c'est mon opposé, pourtant chaque minutes passées avec lui est un véritable bonheur, vous n'imaginez même pas ma joie de l'avoir croisé. J'aurais voulu lui dire je t'aime, un je t'aime d'amitié, mais ça ne sortait pas, parce que je sais au fond de moi que je l'aime plus que d'amitié, je ne le nie pas et, s'il me demandait si je l'aime d'amour ou d'amitié aucun doute que je répondrais d'amour. Je suis passé d'un petit faible pour lui, a des sentiments qui grandissent jour après jours. Je me mis dans ses bras, tendrement, la tête appuyé contre son torse, mes bras qui entourent sa taille, j'arrive encore a levé les yeux juste pour le regarder, regarder ses yeux qui me fascinent tans. Je n'étais pas drogué mais j'étais heureuse, plus qu'heureuse. Pour moi Désire était la sagesse incarné et, il pourrait bien dire le contraire, pour moi ça ne changerais rien et, puis avouez que si on le compare à moi c'est la sagesse incarné et moi la folie. Je n'avais pas envie de sortir de ses bras, mais en même temps j'avais envie de courir sur le sable chaud, ou je ne sais quoi. Pourtant j'aimais tellement être dans ses bras que je ne bougeais pas, je restais calme. Mais comme d'habitude, j'avais envie de parler, oui je sais que je parle tout le temps, je ne sais pas supporter le silence plus de Cinq minutes et, même Désire n'arrive pas à me faire taire.

- Alors mon Désire tu restes célibataire malgré toutes les jolie et agréable jeune demoiselle qui vivent à Opal Springs ?

Je fis un grand sourire angélique. Mon coeur voulait qu'il me réponde non, qu'il n'y avait aucune femme dans sa vie, mais d'un autre côté mon cœur désiré juste qu'il soit heureux toute catégorie confondue et si cela veut dire qu'il sorte avec une fille d'Opal Springs et bien j'accepterais, même si mes sentiments ne s'effaceront pas. De toute façon je ne suis pas une fille jalouse, pas possessive, pas rancunière et entre nous je sais qu'atteinte de l'amour je pourrais tous, absolument tous pardonner.

» Desire |Un lien et un bisous en prime|
» Desire ••• A piece of heaven FINISH
» L o u A n n •• Un peu, beaucoup, passionément, à la folie.
» Rose •• all we need is love
» We love eachother